Spasme tout le long du corps, gémissement et bref jet gargouillant s'étalant dans la poussière. Vie et avenir arrosant la mort et l'oubli. Adolescence effrénée -désirs bouillonnants, envies extrèmes- honorant bien à sa manière le sol de ses ancêtres. Joyeuse irrévérence -plus ou moins innocente. La réponse? Attitude choquée. Morale à la con, fais-pas-ci-fais-pas-ça, et autres inepties. La jeunesse s'en fout, elle sent ses doigts débouchonner d'un geste expert une bonne bouteille de bourbon. Liquide ambré chatouillant les tubes digestifs. Douce chaleur montant à la tête. Pensées confuses, démarche titubante. Rires sonores. Joyeux carnaval enivré, dans l'oubli de l'Emmerde et dans le bonheur du Moment Présent. Le monde devient plus beau, plus coloré. Les tabous tombent, les politesses s'effondrent. Yeah.
Rugissements de guitare dans les enceintes. Rébellion sauvage et décadente. De cordes vocales à tympans, de tympans à cerveau, de cerveau à cordes vocales, une certaine folie se transmet. Les corps bougent, sensuels. Pogo ou slow, quelle différence? Toutes les danses subliment les corps, tout les corps subliment les danses. Une bière et ça repart. Jeunesse frénétique et libidineuse. Les muscles des hommes se tordent magnifiquement, couverts de sueurs, et les femmes se mouvent dans un érotisme terriblement magnétique. Et au-dessus de tout celà, une musique, une putain de musique. Oh, fuck. Le rythme s'empare de chacun. Non, le rock n'est pas mort. Il vit furieusement. Roulement de batteries. Riff accrocheur. Voix pyromane. Martèlement. Envolée. Solo. Retombée. Redémarrage en trombe. Tapage, carnage. Une main étreint la mienne. Sueur coulant tout le long du dos. Cock hard as a rock. Cerveau brûlant. Muscles en action. Serrés l'un contre l'autre. Souffle lourd. Tension grimpante, accélération du ryhtme. Dernière envolée. Petits cris, gémissements, spasmes et fin. Morceau suivant.
Se reposer, lire Buk et se marrer avec ses potes : quoi demander de plus? Ah si : t'enlacer, t'embrasser. Quand je te vois, je sens un flux d'émotions gravir ma colonne vertébrale, aller et venir à travers mon corps, mon esprit tout entier s'embrase et mon âme s'envole vers toi. Tu fais de moi un volcan, je ferais de toi l'Olympe. Tu es le début de ma fin, l'amour me détruira, je me consumerais pour toi, pour eux. Je ne partirais pas sans laisser une trace indélébile en ce monde. Et cette trace sera faite de feu, de sang, de sueur et de larmes ; de sourires écorchés et de pleurs joyeux ; de souffles rauques et de corps transpirants ; de paroles d'ivoire et de gémissements de boue ; d'amours et de haines ; de passions et d'ennuis ; d'éclaircies et d'orages ; de regards rieurs et d'autres qui se voilent. Mais en attendant, je veux VIVRE. Alors, merde aux hommes et merde à Dieu, je ne fuirais pas la tragédie de la vie, j'emprunterais le grand chemin vers l'Abîme avec classe et je réserve mon plus beau sourire à Satan. J'embrasserais la vie jusqu'à m'étouffer. L'avenir ne m'affole plus : je suis paisible et prêt à encaisser les coups avec insolence, prêt à frémir sous tes caresses.
Rugissements de guitare dans les enceintes. Rébellion sauvage et décadente. De cordes vocales à tympans, de tympans à cerveau, de cerveau à cordes vocales, une certaine folie se transmet. Les corps bougent, sensuels. Pogo ou slow, quelle différence? Toutes les danses subliment les corps, tout les corps subliment les danses. Une bière et ça repart. Jeunesse frénétique et libidineuse. Les muscles des hommes se tordent magnifiquement, couverts de sueurs, et les femmes se mouvent dans un érotisme terriblement magnétique. Et au-dessus de tout celà, une musique, une putain de musique. Oh, fuck. Le rythme s'empare de chacun. Non, le rock n'est pas mort. Il vit furieusement. Roulement de batteries. Riff accrocheur. Voix pyromane. Martèlement. Envolée. Solo. Retombée. Redémarrage en trombe. Tapage, carnage. Une main étreint la mienne. Sueur coulant tout le long du dos. Cock hard as a rock. Cerveau brûlant. Muscles en action. Serrés l'un contre l'autre. Souffle lourd. Tension grimpante, accélération du ryhtme. Dernière envolée. Petits cris, gémissements, spasmes et fin. Morceau suivant.
Se reposer, lire Buk et se marrer avec ses potes : quoi demander de plus? Ah si : t'enlacer, t'embrasser. Quand je te vois, je sens un flux d'émotions gravir ma colonne vertébrale, aller et venir à travers mon corps, mon esprit tout entier s'embrase et mon âme s'envole vers toi. Tu fais de moi un volcan, je ferais de toi l'Olympe. Tu es le début de ma fin, l'amour me détruira, je me consumerais pour toi, pour eux. Je ne partirais pas sans laisser une trace indélébile en ce monde. Et cette trace sera faite de feu, de sang, de sueur et de larmes ; de sourires écorchés et de pleurs joyeux ; de souffles rauques et de corps transpirants ; de paroles d'ivoire et de gémissements de boue ; d'amours et de haines ; de passions et d'ennuis ; d'éclaircies et d'orages ; de regards rieurs et d'autres qui se voilent. Mais en attendant, je veux VIVRE. Alors, merde aux hommes et merde à Dieu, je ne fuirais pas la tragédie de la vie, j'emprunterais le grand chemin vers l'Abîme avec classe et je réserve mon plus beau sourire à Satan. J'embrasserais la vie jusqu'à m'étouffer. L'avenir ne m'affole plus : je suis paisible et prêt à encaisser les coups avec insolence, prêt à frémir sous tes caresses.